À l’huile d’olive, au vinaigre, à l’ail cremat, mariné, en boquerones, « avec ce petit poisson, on fait des choses extraordinaires, il est indispensable à la cuisine, et il s’adapte particulièrement bien avec le rancio et le banyuls », Jean Plouzennec, président des Toques Blanches.
C’est un public nombreux et bigarré qui se presse chaque année pour admirer l’amourage des barques à l’ancienne, les chants de marin, les ateliers de filetage des deux derniers saleurs de Collioure où les mains expertes préparent avec dextérité les filets prêts à être conservés.